Christian BORDES Imagerie Électro-photonique - Formation à la santé globale - Conférences, Stages & Séjours

Nutrition ( étude complète )

 

Optimisation des capacités physiologiques chez l'humain

Prise en charge bio-nutritionnelle du sportif

(étude réalisée dans le cadre d'une expédition himalayenne dans le secteur de l'Everest (Népal octobre 2004)

PHYSIOLOGIE EN ALTITUDE

 

Qui n'a pas rêvé d'une longue promenade à la limite des glaciers et des cimes enneigées ? Jusqu'à haute altitude, la montagne reste accessible à une majorité à condition bien sûr de le vouloir mais aussi de la connaître et de se connaître. De cette connaissance, découleront des précautions et une préparation indispensable.

1. Difficultés liées à l'environnement

 

Le gain d'altitude s'accompagne d'une augmentation du froid, d'un air de plus en plus sec, d'une charge en U.V. de plus en plus dangereuse pour les yeux. On peut noter aussi la présence de poussières minérales favorisées par le vent, les variations de température et l'absence de végétaux. Ces poussières sont incriminées à l'instar de la silicose des mineurs pour expliquer des toux sèches qui peuvent persister quelques semaines après un séjour prolongé en haute altitude.

2. Caractéristiques atmosphériques en altitude

 

Plus on monte, plus la pression de l'air et la pression de l'oxygène diminuent :

Altitude (m) Pression Atmosphérique (mmhg) Pression partielle en Oxygène

ppO2 (mmhg)

Température

0 760 159 15
3000 526 110 -4,5
4000 462 97 -11
5000 405 95 -17
6000 354 74 -24
8848 236 49.5 -42

 

A 5000 la ppO2 est réduite de moitié. Cela entraîne une diminution de VO2) max de 30 % environ chez quelqu'un d'acclimaté.

3. Conséquence pour l'organisme : nécessité d'adaptation

3.1. Accomodation

Dans un premier temps (ascension rapide sans fatigue avec téléphérique par exemple), l'adaptation est provoquée par le système neurovégétatif à partir des chemo-récepteurs carotidiens. Elle engendre une accélération des rythmes cardiaques et respiratoires pour compenser la diminution des apports d'oxygène. Cela nécessite une surcharge de travail pour

les muscles respiratoires et pour le cœur. « La sensibilité des chemo-récepteurs peut être évaluée pour un test à l'hypoxie ».

3.2. Acclimatation

A plus longue échéance, l'organisme développe une réaction très importante en fabriquant des davantage de globules rouges. Cette polyglobulie élève l'hématocrite qui peut (comme avec un traitement par EPO) atteindre 50 à 60 % après plusieurs semaines passées au-dessus de 4500 m. L'acclimatation établie et stabilisée aboutit à un état d'acclimatement qui correspond à l'optimisation des possibilités d'un individu compatible avec l'altitude où il se trouve.

4. L'hypoxie et ses conséquences générales

L'hypoxie est inévitable et salutaire pour entraîner l'adaptation, mais elle peut être mal tolérée du fait :

– de la défaillance des chémo-récepteurs

– d'une trop faible réaction de la moelle osseuse

– d'une ascension trop rapide

– d'une surcharge de travail (port d'une charge trop abondante)

Dans tous les cas, l'hypoxie provoque une rétention d'eau par le rein et une diminution du volume plasmatique. Cela entraîne des signes très fréquents souvent bénins et spontanément récessifs :

– céphalées 96 % des cas

– insomnies 70 % des cas

– anorexie 38 % des cas

– nausées 35 % des cas

Parfois les modifications de perméabilité capillaire et les troubles électrolytiques induits par l'hypoxie entraînant des désordres graves à plusieurs niveaux.

– les reins : rétention d'eau => oedèmes, HTA

– les poumons :

l'hyperventilation => alcalose respiratoire

l'hypertension artérielle pulmonaire précapillaire => OPHA œdème pulmonaire de haute altitude

– le cerveau : œdème :

céphalées

insomnies

inappétences

troubles du comportement

troubles sensoriels troubles de la conscience jusqu'au coma

Le traitement de ces oedèmes associe des corticoïdes et des calcium bloqueurs toujours avec une mise en caisson hyperbare ou bien une descente de 300 à 500 m minimum.

5. L'hypoxie et ses conséquences musculaires

Les muscles sont organisés en fibres contractiles dont l'unité ou sarcomère met en jeu des filaments d'actine et de myosine. L'entretien et le développement de ces fibres nécessitent un apport protéique régulier.

Pour se mettre en activité, les muscles demandent beaucoup d'O2. Ils peuvent fonctionner 5 à 10 sec en autonomie par captage de l'ADP présent in situ et 10 à 60 sec en aérobie par glycogénolyse.

En hypoxie, ils doivent rapidement passer en anaérobie (avec un rendement x 12) par le métabolisme mitochondrial qui fait intervenir la phosphorylation oxydative du glucose et des acides gras.

6. Avant le départ…

6.1. les contrôles classiques

– vérifier la fonction cardiaque EGG et si possible épreuve d'effort

– vérifier la fonction respiratoire EFR avec VO2 max

– la sensibilité des chemo-récepteurs (test à l'hypoxie)

Autour de 40-50 ans, la fréquence cardiaque ne devrait pas dépasser 120 à 150 pulsations / min.

6.2. Préparation physique

améliorer la fonction musculaire par des exercices au moins 3 mois avant le départ pendant 40 min 3 à 4 fois par semaine

7. Aspect nutritionnel

 

Tous les participants de notre groupe ont réalisé un bilan Iomet et suivi une cure bionutritionnelle adaptée à leur terrain pendant 1à 3 mois. Pendant le séjour, tous ont pris des protéines au petit déjeuner sous forme d'Ergynutril.

Peu de personnes ont perdu du poids, un participant a toutefois été malade (gastroentérite prolongée avec affaiblissement important qui peut être rattaché à une hépatite E). Il a perdu 6 kg mais inscrit de dernière heure, il n'avait suivi aucune préparation et en particulier le bilan IoMET n'avait pas permis de mettre en place une complémentation de manière suffisamment anticipée.

 

Dr Alain CHAUSSE                                                                                        Médecine Sportive                                                                                    Médecin attaché à l'expédition                                                                           Himalayiste

UNE DEMARCHE NOVATRICE SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE : LE BILAN ENERGETIQUE PAR CAMERA GDV DU Pr KOROTKOV

1. Introduction à l'imagerie énergétique

De nos jours, la médecine énergétique suscite de plus en plus d'intérêt auprès des médecins et praticiens de santé en général. Toutefois, il est très difficile de s'y retrouver en matière de fiabilité et de reproductibilité pour tous ceux dont la formation scientifique initiale repose sur le rationnel avant toute chose ! Parallèlement à cela, la plupart des appareils de mesure en médecine énergétique repose quasi exclusivement sur l'enregistrement du champ électrique que ce soit au niveau d'une zone du corps (pied ou main) ou des points Ting d'acupuncture type méthode de Voll. Une imprécision relative en découle selon 2 causes :

– imprécision potentielle du test due au thérapeute (surtout au début)

– la non prise en compte du champ électro-magnétique dans son ensemble

Dans le cas du GDV (Gas Discharge Visualization), le problème ne se pose plus et la reproductibilité des mesures va de pair avec la précision. Ce procédé permet une mesure du niveau d'énergie, de tous les principaux organes et systèmes corporels. Il permet également de déterminer avec précision un indice de stress et de santé chez le sujet. Dernier gros avantage testé : la mesure ne dépasse pas 2 minutes et ne présente aucune contre indication.

2. Le bilan énergétique GDV

C'est l'un des procédés les plus fiables à l'heure actuelle pour mesurer différents indices chez le sportif et de manière plus large sur l'humain en général s'avère être le système de mesure mis au point par une équipe de scientifiques russes de l'université de Saint Pétersbourg. Celle-ci patronnée par le Professeur Korotkov Konstantin travaille depuis plus de 25 ans avec acharnement sur un système de mesure et l'analyse des champs électromagnétiques du corps ce système s'inspire au départ des travaux de Kirlian et de ses continueurs. Cette technique est agréée par les hautes instances médicales et le ministère de la santé soviétique depuis 1992. Des congrès internationaux se déroulent chaque année en Europe dont un chaque mois de juillet à l'université de Saint Pétersbourg, réunissant des médecins et des chercheurs du monde entier utilisant ce système.

3. Notoriété internationale de la technique

La technique de Visualisation de Décharge Gazeuse (GDV) est officiellement agréée et reconnue comme technique médicale par le Ministère Russe de la santé. Actuellement, ses recherches, grâce à la collaboration de biophysiciens, de physiologistes et de médecins, de chercheurs universitaires du monde entier, fournissent une base scientifique à la notion d'énergie informationnelle au sein des êtres vivants.

HISTORIQUE DE L'IMAGERIE ENERGETIQUE

Bref rappel sur les pionniers à travers le monde :

1777 – Georges LIHTENBERG (Allemagne) réalise les premiers essais

1786 – Le médecin français BARADUC découvre le procédé mais ne l'exploite pas

1900 – TESLA (USA) développe des travaux importants

1934 – Les époux KIRLIAN (URSS) réactualisent le procédé et obtiennent l'aide de l'académie des sciences soviétiques de 1960 à 1971 (décès). Plus tard le procédé est repris par Victor ADAMMENKO

1965 – Le procédé est introduit aux USA par Telma MOSS et par MILER et SMART en Angleterre.

1971 – Georges HADJO (France) devient l'un des pères de l'électrobiophotographie

1975 – Hubert REEVES (France) avance l'intérêt pratique de cette méthode par rapport aux contraintes de certains matériaux.

1977 – V. ROMANII (URSS) étaye largement la méthode

1978 – MENDEL et LERNER établissent la relation avec les méridiens d'acupuncture au congrès médical de biothérapie. A la même époque, le docteur Lambin DOSTROMON développe la spectographie corpusculaire (Turenne)

1980 – Jean MARS, physicien et chercheur indépendant interprète grâce à ce procédé les paramètres d'Emile PINEL (communication à l'académie des sciences) et continue ce travail actuellement.

 

Le Professeur Konstantin Korotkov.

Il est docteur en Electronique Physique de l'Université Polytechnique de Saint Pétersbourg (Russie), Docteur ès Sciences en Ingénierie Médicale de l'Université de Saint Pétersbourg.

De 1975 à 1983, il a occupé la chaire d'Electronique Physique à L'Institut Polytechnique de Leningrad.

De 1983 à 1993, il a accompli des travaux scientifiques dans des organismes d'état.

Depuis 1993, il est Professeur, chargé de recherches au Département des Technologies Informatiques de Mécanique et d'Optique à l'Université d'Etat de Saint Petersbourg.

Depuis 2002, il est membre du Bureau des Directeurs d'Energy Health Applications Inc., USA et du Bureau « National Biotechnology Consultant LLC » (USA).

Depuis 2003, il est le Directeur Scientifique d'Energy Field Imaging, Inc. USA (Imagerie des Champs d'Energie).

Chercheur et découvreur de pointe sur le plan international, USA compris, il est l'auteur ou le coauteur de plus de 200 publications scientifiques éditées dans des revues scientifiques cotées du monde entier.

L'étude statistique des phénomènes observés a représenté un travail de fourmi grâce auquel nous disposons aujourd'hui d'un outil médical non invasif et non traumatisant, à très hautes performances.

 

 

L'ETUDE

1. Le support expérimental : une expédition en haute montagne

 

Il s'agit d'un challenge sportif d'envergure : près de 300 km à pied durant 18 jours pour un groupe de 18 personnes dans le secteur de l'Everest (Himalaya – Népal). Ce circuit comprend l'ascension de plusieurs sommets à près de 6000 m et plus sur cinq journées consécutives. Cinq mois de préparation ont été nécessaires pour faire en sorte d'optimiser la condition physique du groupe.

2. Les sujets : des marcheurs plus ou moins expérimentés

Les 18 sujets qui ont participé à l'étude sont de bons marcheurs. dont Seulement 7 d'entre eux avaient déjà à leur actif une ou plusieurs expériences Himalayennes. Onze d'entre eux n'avaient jamais expérimenté la haute altitude et ce trekking constituait réellement une première !

3. Les objectifs : étudier l'acclimatation en haute altitude et objectiver l'intérêt d'une complémentation nutritionnelle et phyto-nutritionnelle chez le sportif.

Compte tenu des efforts requis pour une pareille expédition et des difficultés fréquemment rencontrées dans ce contexte, notre but était de valider l'utilité d'une complémentation personnalisée et suivie chez le sportif dans une situation d'adaptation extrême.

4. Les moyens mis en oeuvre

4.1 Epreuve d'effort et bilan ECG.

Ces 2 bilans ont été largement conseillés à tous les participants dans le but de déceler un problème sous-jacent ou une incapacité temporaire à l'immersion en haute altitude. Tous ceux qui nous ont communiqué leurs résultats étaient dans les « normes ».

4.2. Bilan Iomet :

afin d'optimiser le terrain de nos participants, un bilan Iomet a été pratiqués environ 2 mois avant le départ. Le but était d'amener chacun vers son « optimum bio-cellulaire » par une ré-équilibration personnalisée, suivie et mesurable. Les conseils alimentaires préconisés selon le terrain Iomet ont été suivis pour la majorité jusqu'au départ. Sur place, nous nous avons adopté la gastronomie locale qui s'est avérée très goûteuse et a occasionné quelques débordements par rapport à une alimentation idéale dans un tel contexte.. Des protéines étaient ajoutées au petit-déjeuner par des préparations Ergynutril. La complémentation bio-nutritionnelle a été continuée tout le temps du trekking et même après.

4.3. Bilan énergétique par imagerie GDV.

Les premières mesures ont été pratiquées dès le mois d'août afin de suivre l'évolution de chacun au fil du temps. Sur le plan démonstratif et éducatif, le GDV aura permis à chacun de se situer énergétiquement et de connaître les axes de travail préférentiels qu'il était bon d'améliorer.

5. Les axes de prévention

5.1. Limiter les carences en protéines communes aux expéditions en haute altitude.

L'un des risques majeurs fréquemment rencontrés est la fonte de la masse musculaire qui découle de 2 processus successifs :

la néoglycogènèse qui se met en place spontanément vient puiser dans la masse musculaire de précieuses réserves pour pallier aux besoins qui sont fortement majorés au fur et à mesure que le marcheur monte en altitude.

une carence d'apport en acides aminés essentiels par raréfaction des apports protéiques de qualité due à l'éloignement et à la difficulté d'approvisionnement empêche une synthèse suffisante pour combler les pertes.

Le tableau d'amaigrissement progressif s'accompagne fréquemment de signes associés tels que fatigue, crampes et difficultés de récupération à l'effort.

5.2. Limiter l'incidence des facteurs de prédisposition.

Sur un groupe de 18 personnes typologie et les facultés d'adaptations sont différentes. Compte tenu que dans les efforts d'endurance, le corps puise avant tout dans les sucres et dans les graisses utilisés sous leur forme active (glucose et acides gras), la résistance devrait être plus importante pour ceux qui sont plus « enrobés ».

En début d'effort, c'est le glucose qui va être utilisé puis les lipides présents dans les adipocytes, et ceci jusqu'à un effort ne dépassant pas 50 % de la VO2 max. Au-delà c'est la réserve protéique musculaire qui est commence à être utilisée pour alimenter la néoglucogenèse.

Il est évident que plus le sujet est entraîné à ce type d'effort et plus il aura eu l'occasion de s'immerger régulièrement en altitude avant le départ, mieux il sera préparé à une utilisation optimale des substrats énergétiques. En revanche, les habitants des plaines comme l'étaient quelques uns de nos participants sont sensés partir avec un handicap.

Pour limiter l'incidence de ces facteurs de prédisposition, nous avons proposé et encadré des entraînements physiques réguliers selon les besoins et les possibilités de chacun, associé à une nutrition adéquate associant les conseils issus du IoMET et d'éventuelles recommandation pour prendre un peu de poids et faire des réserves (association de protéines te de farineux)

5.3. Intégrer les besoins diététiques spécifiques à l'effort d'endurance.

 

Avec l'altitude, les réactions aérobies sont de moins en moins efficaces par diminution progressive de la PPO2. On observe souvent une perte d'appétit et de vigilance. un bon appétit et une conservation du poids de départ constituent d'excellents indices d'acclimatation.

Les besoins sont les suivants :

Les glucides doivent couvrir plus de la moitié des besoins caloriques. Ils comprennent 90 % des glucides lents : riz complet ou ½ complet (riche en vitamine B15, l'acide pangamique) qui est un excellent oxygénateur cellulaire), pâtes, céréales, etc. et 10 % de glucides rapides (fruits secs, confiture, miel) en évitant le sucre raffiné.

Les protides sont les briques de l'édifice et constituent près de 90 % du muscle. Elles sont d'origine animales (viande, œuf, poisson ou fromage de Yack) et végétales (lentilles, pois, haricots, soja) et doivent couvrir 15 % de la ration.

Les lipides peuvent être saturés (sources animales) ou insaturés (sources végétales ou issus de certains poissons). Ils couvrent le reste de la ration (35%) dans les proportions suivantes : 2/3 acides gras insaturés pour 1/3 d'acides gras saturés. L'excès de graisses saturées limite rapidement la performance en matière d'endurance !

La gestion du contenu énergétique évite, la « flambée des sucres ». Pour cela, on associe aux glucides une ration protéique afin de retarder la combustion des sucres. La courbe glycémique beaucoup plus plane ainsi obtenue évite le pic glycémique suivi d'un pic insulinique qui pèse lourd dans la balance, entraînant dans la plupart des cas une dette énergétique qu'il est difficile de rattraper durant l'effort !

5.4. Optimiser le terrain individuel avant le départ

C'est le fondement du Iomet qui détermine un profil individuel et permet de connaître les besoins de chacun pour optimiser son terrain.

Nous avons opté pour ce moyen simple, et fiable parce qu'il permet d'apporter une réponse bionutritionnelle adaptée.

Il était intéressant dans notre projet de voir quels étaient les handicaps et les risques spécifiques, au cours de l'expédition, des différents terrains, afin de les corriger de manière préventive

Handicaps et risques spécifiques liés aux terrains IoMET

Profil C (carence en AGPI) : déficit dans le rendement énergétique, problèmes tendineux inflammatoires ou articulaires

– Profil H (hypoglycémique) : les classiques « coups de pompe » durant ou après l'effort avec difficulté à la récupération

– Profit A (acide déminéralisé) : surcharge en acides d'une manière générale tendant vers l'acidose métabolique majorée ici par la surproduction d'acides lactiques => crampe musculaire, fatigue et aggravation de l'état de fatigue par « effet tampon » (déminéralisation ++)

– Profil N (neuro-dystonique) : état d'anxiété et/ou d'angoisse lié à la haute altitude, difficulté d'endormissement par décompensation du système nerveux végétatif.

– Profil B : baso-colitique : troubles digestifs invalidants dus aux changements de nourriture et des habitudes (décalage horaire, aliments épicés, …)

– Profif I : intoxiqué : ce terrain comme le suivant vient aggraver tous les autres favorisant la survenue des crampes, de la fatigue par défaut d'oxygénation au niveau cellulaire.

– Profit O : oxydé-dénaturé : se rajoute aux processus accrus d'oxydation cellulaire rencontrés à ces altitudes (hyperventilation ++, augmentation de la production de déchets dus à l'effort ++)

Suite à notre préparation par cure bionutritionnelle nous n'avons pas rencontré de problèmes physiques ni psychologiques au cours de l'expédition, hormis 2 cas ponctuels de gastro-entérites bien jugulées et un essoufflement important (épiphénomène spontanément récessif).

 

5.5. Favoriser l'hyper-performance tout en préparant la récupération par une complémentation en cours d'expédition

Pour compléter l'alimentation qui nous a été proposée sur place nous avons utilisé les produits suivants

– Ergynutril : 1 sachet protéiné était systématiquement associé au petit déjeuner à côté des glucides (porridge, crêpes épaisses, pain, riz, etc.) et une barre protéinée était prise au gré des envies durant l'effort (jusqu'à 2 / jour ) pour éviter les « en cas » trop riches en sucres rapides.

Les compléments bio-nutritionnels de la gamme Nutergia spécifiques à chaque participant issus de la cure Iomet. Tous les participants ont été assidus durant le séjour malgré

l'itinérance et la majorité d'entre eux étaient en phase 2. Pour information, les produits les plus fréquemment utilisés ont été Ergymag, Ergy 3, Biocébé, Ginzinc

– Ergycalm a été largement utilisé par nos marcheurs le soir au campement afin de favoriser un retour au calme. Ceci a permis une meilleure récupération et un endormissement facilité malgré les nuits d'inconfort en haute altitude (une semaine entière passée aux alentours de 5000 m et plus dont 2 nuits à 5200 m => hôtel lodge le plus haut du monde !). Il est à noter que ce produit nous a évité de consommer certains somnifères susceptibles d'aggraver le M.A.M. (mal aigu des montagnes) avec tous les risques que l'on connaît durant le sommeil !

– Coca (en dilution homéopathique) qui s'est avéré être d'une remarquable aide pour nous acclimater. Connu de longue date, des habitants des hauts plateaux andins et de la cordillère, sa forme homéopathique doit être prise quelques jours avant le vol international et durant tout le séjour.

– Guarana (poudre) des laboratoires Guayapi nous a permis chaque fois que cela était nécessaire de disposer d'une énergie « longue durée » durant des journées difficiles d'ascension nécessitant un recrutement maximal de toutes les fonctions énergétiques. Il s'avère être très utile également dans la récupération due aux décalages horaires en tant qu'adaptogène.

LES RESULTATS

 

1. Les images GDV et leur lecture

Les participants de l'expédition sont identifiés par leur prénom suivi de la première lettre de leur nom et de leur âge les autochtones (sherpas, porteurs) seront référencés par leur prénom uniquement suivi de l'âge.

Les premières mesures ont été effectuées fin août dans les hautes Pyrénées à 2600 m d'altitude lors d'un week-end d'entraînement.

Durant le périple, nous avons procédé à un suivi régulier à diverses altitudes (incluant la fatigue due au décalage horaire et à un long voyage aérien intercontinental). Nous avons également enregistré dans le but de recherches futures 2 paramètres : la température de la pièce et l'hygrométrie relative du lieu en pourcentage.

Caractéristiques des lieux où ont été effectuées les mesures

3440 m : Namche, 15 °C, Hygrométrie 65 %

3675 m : Phortse, 10°C, Hygrométrie 70 % (borde de torrent)

4750 m : Gokyo, 17°C, Hygrométrie 60 % (bord de lac)

5200 m : camp de base de Island Peak, 5°C, hygrométrie 30 %

2610 m : Phakding en fin de trekking, 15°C, hygrométrie : 40 %

 

1.1. Les paramètres du bilan

Afin de mieux interpréter les variations observées sur les images, il est essentiel de connaître 2 éléments.

=> l'imagerie du type « Meridian Analyse » qui représente le champ vital émanant du sujet testé (Human Energy Field : HEF) comparable d'une certaine manière à ce que nous qualifions d'aura. Il nous sera donc possible de comparer dans le temps la surface (chiffrée en haut à gauche de l'écran) ainsi que la symétrie relative au rayonnement de l'individu. Plus l'énergie vitale est libre de toute « entrave » ou de tout « barrage », plus le champ (H.E.F.) sera important et harmonieux.

=> le diagramme de synthèse des systèmes ou organes permet d'un simple coup d'œil de connaître le ou les organes qui sortent d'un état de « normalité énergétique ». La courbe du diagramme devrait toujours se situer dans la partie grisée du disque (état d'équilibre parfait). Il est à préciser que la partie centrale correspond à l'hypofonction, au manque d'énergie voir à la dégénérescence. La partie périphérique au contraire correspond à un état d'hyperfonction, d'excès d'énergie, et/ou d'inflammation. (Tous ces résultats sont à croiser avec d'autres données du logiciel non abordées volontairement dans cette étude afin de ne pas surcharger le texte). Les images parlent ainsi d'elles mêmes et même si le système GDV permet d'étalonner avec une grande précision certains systèmes ou organes, nous nous limiterons ici volontairement au champ vital et au diagramme.

Bilans réalisés sur les sherpas de l'Himalaya

Nous avons pris le temps d'étalonner certains sujets autochtones proches de notre groupe durant cette expédition. Nous avons pu comparer des sujets des 2 sexes et d'âges variés. Nous étions curieux de connaître l'état énergétique de personnes vivant à ces altitudes et surtout dans des conditions parfois très rudes (froid, portage lourd…). Nous commenterons succinctement ce chapitre en fin d'étude. Ceci pourra être le support d'une étude scientifique plus poussée lors d'une prochaine expédition. En effet, ces peuples sherpas au fil des ascensions sur le toit du monde fascinent beaucoup de nos scientifiques et de nos contemporains par l'énergie qu'ils véhiculent.

1.2. Descriptif des images

La traduction de quelques noms d'organes écrits en anglais sur le logiciel est nécessaire à la lecture pour les personnes ne maîtrisant pas cette langue. En partant du haut à gauche par exemple (LEFT) dans le sens des aiguilles d'une montre nous avons :

– Coronary vessels : vaisseaux coronaires

– Blood circulation : circulation sanguine

– Respiratory : système respiratoire

– Endocrine : 1. Le système dans son ensemble

2. Glande pinéale

3. Glande pituitaire

4. Hypothalamus

5. Glande thyroïde

– lymph : système lymphatique

– nervous system : système nerveux

– uro-genital : système uro-génital

– spine  1. Cervical

2. Dorsal

3. Lombaire

4. Sacrée

– kidney : reins

-Liver : foie

– Colons : 1. Transverse 1. Transverse

2. Descendant 2. Ascendant

3. Sigmoïde côté gauche 3. Appendice côté droit

4. Rectum left 4. Caecum right

5. Iléon 5. Duodenum

– heart : cœur

– throat : zone de la gorge

– jaw : machoire

– head : tête

1.3. Lecture facilitée

 

Le lecteur peut lui même analyser les zones perturbées d'après l'annexe : analyses des extrémités des doigts ou BEO grammes.

1.4. Terminologie spécifique.

Pour une parfaite compréhension des commentaires qui vont suivre, nous avons besoin de « traduire » aux lecteurs certains termes fréquemment employés.

– BEO grammes : images des extrémités des 10 doigts (énergie biologique numérisée).

– Expression fractale : aspect plus ou moins « découpé » et sinueux du contour du champ vital enregistré tant au niveau des doigts que du corps entier

– Signe agressif : découlant d'une expression fractale très élevée avec formation sur l'image de véritable effet de pointe (l'inverse d'un contour lissé et harmonieux)

2. Quelques résultats et leur interprétation

Sujet n° 1 : Jacqueline P. 57 ans

Avant le départ : Les résultats du Iomet montrent un terrain dominant de type Neurodystonique à 50 %. L'imagerie confirme cet état par des BEO grammes légèrement perturbés avant le départ. Les doigts de la main droite montrent de faibles zones potentielles (surtout doigts 1, 2, 3 et 4). Le diagramme montre un effondrement énergétique du système lymphatique compensé par une hyperactivité sanguine.

Pendant (à 4750 m) : Tous les BEO grammes sont fermés malgré une « exubérance » qui présentent une expression fractale élevée. Sur le diagramme, le problème lymphatique est estompé et seul le système circulatoire sanguine reste en hyperfonction du fait des contraintes de l'altitude.

Au retour : le sujet conserve en grande partie son énergie avec un travail accentué au niveau foie et rein, lié certainement aux changements d'habitudes alimentaires. Dans tous les cas, nous n'avons plus jamais observé chez ce sujetun deficit lymphatique d'avant le depart jacqueline

Sujet n° 2 : Frank M. – 34 ans

Avant le départ : Le terrain baso-colitique à 29 % semble en corrélation avec le diagramme. Ce sujet malgré une très bonne forme physique nous surprend par les faibles zones potentielles des images. Une mesure de l'indice de stress nous confirme que ceci est en grande partie lié à l'influence psychique.

Pendant (à 5200 m) : on observe une très nette augmentation du niveau d'énergie malgré la persistance de zones de ruptures et de fenêtres. La thyroïde apparaît basse sur le diagramme côté gauche en relation avec la forte demande en énergie à ces altitudes.

Au retour : le sujet conserve une excellente énergie et tous les BEO grammes sont plus équilibrés. Le champ vital paraît s'harmoniser peu à peu malgré une expression fractale encore très élevée.frank

Sujet n° 3 : Lisa L. – 25 ans

Avant le départ : Ce sujet présente un bilan Iomet assez perturbé avec le terrain Hhypoglycémique à 57 %, neurodystonie à 43 %, baso-colitique à 40 %, acide-déminéralisé à 32%, carencé 28 %, oxydé 25 % et intoxiqué 21 %. Le champ vital perturbé lui aussi est en corrélation directe avec le Iomet.

Pendant (à 4750 m) : Après un démarrage difficile sur le plan physique, nous sommes agréablement surpris par les résultats obtenus au niveau des images. Cette personne a atteint le meilleur résultat de tout le groupe. En effet, le contentement (la satiisfaction ?) d'être arrivée à « bon port » et l'harmonie d'un groupe solidaire aidant, notre sujet se sent nettement mieux. Il persiste toutefois des images agressives en regard du système respiratoire, surrénalien et hépatique surtout. Le diagramme montre nettement une courbe tendant vers l'excès d'énergie par adaptation maximale de tous les systèmes corporels à ces nouvelles conditions liées à l'altitude.

Au retour : le corps énergétique marque une baisse très nette que nous interprétons immédiatement d'autant que cette mesure englobe le mental. Le sujet nous avoue que pour des raisons personnelles, elle est fortement déçue que son séjour se termine au vu des contraintes qui l'attendent chez elle (tracas divers liés au travail entre autres). Là haut, elle avait trouvé l'harmonie dont elle avait besoin à ce moment là.doc 2doc 4

doc 3  doc 5.

Sujet n° 4 : Christian M.- 61 ans

Avant le départ : Ce sujet présente un bilan Iomet plus que satisfaisant avec un terrain dominant oxydé à seulement 23 %. Le champ énergétique est en parfaite adéquation avec le Iomet. Seule une légère tension apparaît sur la zone lombo-sacrée droite.

Pendant (à 5200 m) : Le résultat est superbe et les images GDV montrent un excédent d'énergie apparent à tous les niveaux. L'expression fractale reste élevée liée certainement à une certaine « excitation » parfaitement contextuelle. Sur le diagramme persiste la tension lombo-sacrée et se sont surajoutés des indices d'hyperfonction dans la zone intestin grêle-côlon.

Au retour : Malgré la fatigue liée à l'expédition, le sujet revient avec une énergie largement supérieure à celle du départ. Persistent toujours des hyper fonctions lombo-sacrées et duodénum. Une reprise de l'alimentation saine suivie par le sujet règlera certainement cela dès son retour en France.

Image3 Image4 Image5

 

Sujet n° 5 : Tibet – 52 ans

En début de trekking : Les mesures prises sur ce sherpa montrent un champ vital tout à fait correct et relativement homogène. Seule la zone thyroïde sur les BEO grammes du haut révèlent une zone très nette de rupture du champ. Etait-ce lié à l'éloignement excessif de toute mer et au manque de produits iodés consommés ?…

En fin de trekking : Ce sujet a effectué durant tout le séjour des efforts importants pour assumer à perfection son rôle au sein du groupe. A t'il d'une certaine façon « tiré sur ses réserves » ? Une chose est sûre : il n'a pas bénéficié comme tous les gens de notre groupe de cette précieuse complémentation micro-nutritionnelle destinée à aider le corps face à ces énormes contraintes. Nous ne nous serions pas permis d'imposer à ces gens une pareille démarche ! Il serait intéressant lors d'une étude future de vérifier si tous ses amis sherpas sont rentrés dans le même état.

(l'état dan lequel il arrive n'est pas décrit)

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Sujet n° 6 : Dawa – 30 ans

En début de trekking : Ce jeune sherpa en parfaite forme apparente, nous a surpris par la qualité médiocre des images obtenues. Nous nous sommes alors demandés si l'origine de ce déséquilibre énergétique n'était pas d'origine émotionnelle et/ou psychologique. Nous avons alors procédé le même soir à une mesure du champ physique uniquement (spécificité propre au système GDV). A notre grand plaisir, le champ vital s'est avéré alors en parfait état de rayonnement et nous avons sans aucun problème compris pourquoi. Deux jours avant, il avait pris un énorme caillou sur la tête qui aurait pu le tuer ! Par bonheur il était sauf avec une plaie qui n'a pas nécessité de points, juste un bandage compressif.

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Nous pouvons certainement rapprocher ce phénomène de l'incident qu'il lui était arrivé. Son énergie est remontée ensuite au fur et à mesure de l'ascension

Important : le système GDV a été étalonné à toutes les altitudes afin de compenser d'éventuels dérèglements de l'appareil et permettant d'effectuer des mesures parfaites.

Bilan, interprétation et commentaires

1. Les preuves d'une excellente acclimatation

Le phénomène le plus surprenant fut la qualité des champs énergétiques enregistrés au fur et à mesure que nous montions en altitude (phénomène inversement proportionnel à ce que nous imaginions avant de partir !). Le meilleur niveau de forme fut paradoxalement enregistré au camp de base (5200 m) la nuit qui précéda la dernière ascension malgré des conditions de confort ultra précaires et une température très basse (autour de –15°C à l'extérieur des tentes) !

Par un procédé très simple propre à l'utilisation du GDV, nous avons pu mesurer sur cet échantillon d'alpiniste le champ vital avec et sans l'influence du mental (le distingo a été établi entre le champ psychologique et le champ physique). Nous avons constaté que malgré un facteur de stress évident lié à la haute altitude, chacun était à son meilleur niveau et on peut parler d'une « SUPER ADAPTATION » Nous analyserons plus loin les facteurs cumulés qui ont permis ce résultat.

2. Les preuves de la biodisponibilité des compléments nutritionnels

 

Cette gestion était bien évidemment capitale dans ce type d'effort prolongé en haute altitude. Tout « coup de pompe » aurait pu se solder par des conséquences graves dans ce contexte sachant que bien souvent, une hypoglycémie peut potentialiser tous les symptômes propres au M.A.M. (mal aigu des montagnes).

2.1. une protection de la masse musculaire.

Nous sommes là devant la meilleure preuve de biodisponibilité des produits utilisés. En effet de nombreuses autres expéditions réalisant le même circuit ont vu leurs sujets amaigris malgré une excellente forme générale et en dehors de tout phénomène pathologique concomitant. Ici au contraire, certains de nos sujets qui ont généralement du mal à prendre du poids, énergétiques mis en œuvre. Pour la petite histoire, les participants avaient pris goût à leur « ration » et en faisaient la démarche systématiquement, sentant certainement que cela leur faisait du bien. ont pu prendre jusqu'à 3 kg en tout. Nous avons donc pu éviter une néoglycogénèse trop importante centrée sur les muscles (une fois le glycogène hépatique utilisé). Dans ces conditions, le catabolisme s'avère souvent dominant, compte tenu de la perturbation des processus

2.2 . Une désacidification indispensable,

En dehors des produits spécifiques résultant des bilans Iomet, Ergymag a été largement utilisée durant le séjour sous forme de prises « d'appoint ». Ce produit a permis une équilibration correcte du rapport acides/bases évitant l'effet néfaste du tamponnage des acides par les réserves minérales corporelles. Nous avons évité par là même l'apparition de crampes et de fatigue musculaire. De ce fait, le rendement musculaire en a été augmenté malgré le défaut d'oxygénation cellulaire consécutif à la baisse de la PPO2. Il est certain qu'en 18 jours, nous ne disposions pas de suffisamment de temps pour mettre en place une réelle et suffisante hyperglobulie, garante au long cours d'une bonne acclimatation. Hyperglobulie que nous rencontrons de toute évidence chez les populations locales par nécessité d'adaptation par rapport à un milieu dans lequel ils évoluent.

2.3. Une parfaite récupération physique et nerveuse.

Ergycalm a été également pris en doses « d'appoint » pour favoriser de meilleures nuits et un bon endormissement tout au long du séjour. Nous prenions 3 doses dans un verre d'eau un peu avant le coucher et ceci a permis, à toutes altitudes (sauf la première nuit à 5200 !), de nous reposer d'une manière efficace. Ceci s'avère capital durant un trekking comme celui là !

2.4. Le rôle non négligeable des endorphines.

Même si cela n'a pu être quantifié de manière objective dans le cadre de cette étude, nous connaissons bien dans le domaine sportif, la relation qui s'établit dans le temps entre adaptation/performance et bien-être. La réussite progressive de tous les objectifs que nous nous étions fixés a très certainement influencé notre psychisme ainsi que notre champ énergétique (H.E.F.). Un décor hors du commun durant tout ce périple s'est rajouté au facteur « plaisir » lié à la marche et la découverte. L'environnement humain tant des personnes du groupe que nous étions que de l'équipe népalaise constituée des sherpas, guide, porteurs et cuisiniers (en tout 25 personnes), a influencé positivement le moral de chacun d'entre nous et la notion de « groupéité » bien connue des sophrologues a certainement pris ici toute sa place.

 

 

QUELQUES ANNEXES A CETTE ETUDE

1. Mesures effectuées sur les Sherpas

La qualité très moyenne des images obtenues laisse perplexe quand on connaît l'endurance extrême de ces peuples de l'Himalaya. Alors que penser du réel intérêt d'avoir un parfait champ vital quand ces hommes réalisent des prouesses avec « apparemment » si peu d'énergie,

D'après les travaux du Professeur Korotkov, lui même alpiniste chevronné qui a parcouru les continents, il semblerait que plusieurs paramètres interviennent :

– spécificité ethnique

– conditions de vie rudes +++

– déficit chronique en oxygène (malgré une hyperglobulie quasi « constitutionnelle »

– qualité parfois douteuse de leur nourriture (invasion des produits raffinés et des sodas de toutes sortes ! Même à dos de porteurs, les lobbies envahissent les contrées les plus reculées de l'Himalaya : à ne pas en croire ses yeux !)

– efforts très importants liés à leur travail.

– L'espérance moyenne de vie des hommes dans ce pays n'excède pas 59 ans.

2. Un facteur de compensation au service de la vie : l'eau

Comme nous le savons tous, l'eau constituant 70 % de notre organisme environ, revêt un rôle essentiel dans le maintien de la vie et dans l'organisation des processus énergétiques les plus subtils. Notre curiosité nous a donc poussé jusqu'à ramener dans nos bagages de l'eau de l'Himalaya, prise en amont d'un petit village d'altitude et loin de toute pollution potentielle. Cette dernière sert à alimenter les autochtones en eau de boisson et de cuisine. Comme elle descend des hautes cimes, nous pouvons considérer que tous les affluents de ce type ont sensiblement la même composition. Nous nous sommes empressés de la faire analyser par deux organismes différents et complémentaires dans leur approche.

Tout d'abord, un organisme français officiel (Laboratoire départemental d'hygiène) et ensuite auprès de consultants Belges (SPRL Delvaux-Danze), éminents spécialistes des pollutions environnementales. Ces derniers ont abordé l'analyse par le biais des mesures pouvant se

rattacher à la bioélectronique de Vincent, qui bien pratiquée, nous donne au sujet de l'eau des éléments essentiels non chiffrables sur les analyses traditionnelles.

Voici quels ont été les résultats obtenus :

Laboratoire départemental d'hygiène

=> paramètres physico-chimiques

Calcium : 4.4 mg/litre

Silice : 3.3 mg / litre

Potassium : 0.5 mg / litre

Argent < 1mg / litre

Vanadium < 1 mg / litre

Consultants belges (Danze – Delvaux)

=> coordonnées bioélectronique

L'eau s'est avérée parfaitement bio-compatible avec un PH aux alentours de 6.5 et une résistivité quasiment parfaite (50 000 W) La conductivité très faible en fait une eau de boisson excellente pour la santé en général. Comme nous le voyons sur les paramètres physico-chimiques de la première analyse, cette dernière est très peu minéralisée

Commentaires

Tout d'abord le fait de consommer une eau hautement biodisponible de manière régulière garantit des échanges énergétiques optimum. Ensuite et sans pour autant avoir poussé plus loin l'analyse physico-chimique, nous pouvons constater que les propriétés rattachables aux constituants pris isolément sont pourvoyeuses de santé :

– Calcium : qualité du squelette, prévention des états de spasmophilie et de rhumatismes et des caries

– Potassium : régulation du métabolisme de l'eau ainsi que des myasthénies, prévention des oliguries et rhumatismes

– Silice : protection vasculaire et cutanée par structuration des tissus conjonctifs, prévention des troubles ostéo-tendineux, facteur de reminéralisation

– Argent (traces) : antiseptique, anti-infectieux, prévention des septicémies, pneumonies, gonococcies, colibacillose, staphylococcie

– Vanadium (traces) : aide à la fixation du calcium dans le système osseux, prévention des troubles du métabolisme glucido-lipidique et musculo-tendineux.

Il apparaît donc nettement que les quelques constituants analysés agissent en synergie par complémentarité d'action dans l'intérêt de ces populations démunies par ailleurs en matière de santé.

3. Un privilège lié à la haute altitude : l'ionisation de l'air

Même s'il est dit que toue vie prolongée est impossible au delà de 4.700 m même si la capacité respiratoire est réduite de moitié à ces altitudes, les populations de l'Himalaya bénéficient d'un facteur non négligeable : une ionisation spontanée de l'air exceptionnelle. Pour comprendre cela, il faut se référer aux travaux de Georges LAKHOVSKY. Ce dernier, durant de longues années de recherches a démontré que la base de la santé et de l'homéostasie reposait sur un

parfait entretien des oscillations cellulaires. Cet entretien émane d'une radiation externe cosmique que les astrophysiciens ont nommé « rayons pénétrants ». L'activation de ces radiations pénétrantes est entretenu à son tour par l'ionisation et la conductibilité de l'air. Cette ionisation spontanée de l'air étudiée par de nombreux savants (Geitel, Wilson, Campbell) a été reprise et approfondie en France par le Professeur METADIER.

Le phénomène le plus extraordinaire réside dans le fait suivant : après avoir diminué progressivement d'intensité jusqu'à une altitude de 500 à 700 m, elle augmente ensuite de plus en plus avec l'altitude. Deux chercheurs, Hess et Kohlhorster ont étudié le phénomène jusque vers 5000 et 9000 mètres et ont obtenu des résultats absolument concordants. L'ionisation spontanée de l'air apparaît donc 7 fois plus importante à 5.000 mètres qu'au niveau de la mer. Cela explique donc dans notre cas de figure, l'énorme potentiel dont bénéficient les sherpas dans cet environnement énergétique exceptionnel. En plus de cela, et ne l'oublions pas, ces profondes vallées coupées du monde sont à l'abri (pour l'instant !) de puissants émetteurs de radio-téléphonie et autres qui baignent nos pays civilisés dans un brouillard électro-magnétique, puissant destructeur de cette ionisation spontanée bénéfique pour l'homme et l'entretien de la vie en général.

Cette excellente ionisation de l'air alliée à la qualité de l'eau sont des facteurs de compensation évidents dont bénéficient les populations locales pour leur santé

CONCLUSION

Cette expédition demandait la mise en place de moyens fiables pour nous permettre d'atteindre les objectifs fixés. Nous avons fait en sorte, tant au niveau des entraînements « relevés » physiquement qu'au niveau nutritionnel de nous rapprocher « de l'optimum  « bio-cellulaire ». La prise en compte de tous ces paramètres nous a permis de réussir le challenge de manière surprenante et de revenir dans une forme physique et psychologique tout à fait exceptionnelles.

Ceci nous prouve que le corps a peu souffert malgré d'énormes contraintes physiques d'adaptation. Nous sommes prêts à repartir dans les mêmes conditions de sécurité préalables pour vérifier la reproductibilité de cette expérience.

Christian BORDES

Kinésithérapeute, Ostéopathe et Naturopathe

Chargé des mesures GDV

Organisateur de l'expédition – Diplômé d'état d'alpinisme

Nous remercions le laboratoire Nutergia de l'aide logistique précieuse qu'ils nous ont apportée. Pour tout renseignement complémentaire relatif à cette publication, vous pouvez consulter le site www.nutergia.fr. Pour toute information sur le système GDV, les stages ou les ouvrages du Pr KOROTKOV vous pouvez contacter directement Christian BORDES soit par e-mail : montagnes.sante@wanadoo.fr ou directement au 05 62 98 88 00.

 

BIBLIOGRAPHIE

Champs d'énergie humaine Pr Konstantin Korotkov (à paraître en Français)

Médecine et sports de montagne Dr Jean Louis ETIENNE – Editions Favre

Equilibre acido-basique Christophe VASEY – Editions Jouvence

Physiologie médicale W.F. Ganong – Editions Masson

L'origine de la vie Georges Lakhovsky – Ed. Gauthier – Villars