Christian BORDES Imagerie Électro-photonique - Formation à la santé globale - Conférences, Stages & Séjours

Ostéopathie, trois cas cliniques

Mise en évidence et suivi des désordres

viscéraux dans les lombalgies récidivantes

 

L'approche psycho-somatique

enfin confirmée par l'imagerie

Par Christian Bordes D.O.

Membre de la chambre nationale des ostéopathes – Ex-chargé de cour à l'université

Une pratique assidue du sport de compétition dans différents domaines (ski acrobatique, squash, boxe française) m'ont amené très jeune à consulter les cabinets d'ostéopathie les plus performants afin de pouvoir continuer sans souffrances des disciplines sportives quelque peu traumatisantes. Je me suis vite rendu compte de l'efficacité de soins ostéopathiques lesquels étaient particulièrement
adaptés à mon cas alors que les soins classiques associés aux classiques anti-douleurs s'avéraient inefficients… Bien évidemment, les causes profondes n'avaient pas été réglées ! Nous connaissons bien ce schéma quotidiennement dans nos cabinets professionnels tant auprès des sportifs que d'une patientelle éclectique et quels que soient les âges considérés. Ma curiosité, mêlée à une certaine reconnaissance que je devais alors à cette ostéopathie salvatrice, me conduisit tout naturellement dans le classique cursus : kinésithérapie => ostéopathie .
Pratiquant l'ostéopathie dès 1988, je deviens, au fil des ans partiellement déçu de la stabilité dans le temps de certains résultats. Je me remémore ici le cas de Monsieur Jean Claude G. qui vient régulièrement me consulter pour une lésion de D4 associée à une chronicité de D8. Mes normalisations ne tiennent pas plus que quelques petites semaines, voire quelques jours avant que je ne lui pose la question clé : quelle est votre profession actuelle ? (sachant que ce dernier venait de reprendre récemment une affaire). Réponse : barman dans une boîte de nuit, il m'avoue immédiatement accompagner volontiers ses clients dans quelques « tournées alcoolisées » de manière parfois incitatives ! Qu'en était-il de l'état viscéral sous-jacent sachant que je n'avais à l'époque d'autre moyen que la palpation et l'anamnèse pour investiguer ? Pour ôter tout doute dans cette relation vertébro-viscérale plausible, je lui demande de suspendre temporairement l'absorption
d'alcool en se contentant de consommer des jus de fruit éventuellement des besoins type « tonic » mais sans le gin ! Ce fut immédiatement la preuve par les faits : les lésions vertébrales se turent et laissèrent mon patient Jean Claude G. en totale tranquillité.

Des cursus complémentaires s'imposent à moi

Fort de résultats tels que ceux là et ne voulant pas me contenter de l'approche viscérale, je passe
quelques années plus tard un clinicat de naturopathie qui va résolument me mettre sur la voie. Une dizaine d'années de pratique de Qi Gong thérapeutique selon l'enseignement du Dr Liu Dong confirme la nécessité de faire marcher de pair l'hygiène interne et hygiène ostéo-articulaire au sens
large. La totale révélation me fut apportée par la pratique de l'imagerie énergétique que je pratique depuis 6 ans au sein de mon cabinet. L'un des derniers nés en matière d'appareillage (la caméra GDV-EPC du Pr Korotkov) m'apporte à ce jour d'énormes satisfactions. Une équipe de scientifiques
russes de l'université de St Petersbourg ont accompli depuis une vingtaine d'années un véritable travail de fourmi au service des praticiens que nous sommes. Agréé par le ministère de la santé Russe et le ministère des sports, ce système d'investigation est présent dans une cinquantaine de pays à travers le monde. Des congrès internationaux permettent aux médecins et thérapeutes que nous sommes de publier des études au niveau international par le simple fait que la communauté
scientifique a agréé ce système comme étant suffisamment fiable et reproductible »

Enfin une imagerie énergétique au service de nos mains

Comme nous le savons toutes et tous, un patient qui consulte que ce soit au cabinet du médecin et/ou de l'ostéopathe ne nous montre dans le meilleur des cas que « la partie émergée de l'iceberg » ! Dommage pour nous car tout le reste est à trouver. Aussi précise et fouillée que soit l'anamnèse, nous ne sommes pas toute la journée derrière nos patients pour une enquête qui nous en dirait parfois long ! Alors il faut parfois se contenter des « ingrédients » qu'il veut bien nous fournir et de notre ressenti ostéopathique. Pour ceux qui bénéficient d'une intuition plus affinée,
quelques éléments pourront dans le meilleur des cas être mis en évidence dans l'intérêt du patient, allant dans le sens de la qualité de nos prestations. Mais sommes-nous sûrs malgré tout cela de cerner les véritables causes qui amènent ce patient à consulter ? Loin de moi l'idée de dire que nous pourrions dépendre une seule seconde d'une quelconque « machine miracle » alors que nous
avons l'un des plus beaux outils qui existent : nos mains, des mains patiemment éduquées et sensitives. Mais s'il est possible de mettre en évidence une piste solide, alors il est de notre devoir de tout faire pour cela. Nous ne devons pas hésiter si nous n'en avons pas les compétences nous mêmes à envoyer à des collègues acupuncteurs ou homéopathes pour « redresser » le terrain en parallèle. A demander un diagnostic différentiel à nos correspondants médecins allopathes si toutefois ceux ci sont ouverts à ce type de collaboration. De toutes les façons, une seule chose
compte, tout doit être mis en place dans l'intérêt de celui ou celle qui nous consulte ! (voir charte liée à la notion de qualité de soins éditée par notre chambre nationale).

Mise en application (ou utilisation) de la caméra GDV-EPC

Des avantages de premier ordre peuvent être avancés quant à l'utilisation de ce système :
– très facile d'utilisation, non invasif, rapide (moins de 2 minutes pour numériser et enregistrer les
images), sans aucune contre indication, indolore.

Mise en œuvre

Le patient met l'extrémité de ses dix doigts sur le quartz de la caméra (voir photo ci-dessous) et le praticien clique autant de fois sur le bouton gauche de la souris. On tape le nom du patient sur l'ordinateur : ça y est, le logiciel fait tout le reste instantanément ! Ce travail peut être fait en pleine lumière dans le bureau de consultation. Même si vous n'êtes pas vous-même possesseur d'un tel type d'appareillage, pourquoi ne pas envisager de demander à vos patients une sorte de « check up » de son état énergétique. Dans tous les cas, ce système apparaît être un merveilleux outil éducatif vis à vis de nos patients car nous pouvons « mettre le doigt » d'une manière très fiable sur des problèmes sous jacents qui n'avaient été vus ni à l'anamnèse ni à la palpation. Le résultat de nos corrections et normalisations
se lit immédiatement sur les images et diagrammes à condition que l'homéostasie ait pu faire son travail de « restauration ». Il est bon pour cela de considérer le cas au-delà de 24 h afin que toutes les « marées énergétiques » liées à nos différents méridiens aient pu faire un cycle complet.
Comme nous le savons tous, mieux vaut dire au patient d'attendre 3 jours complets avant de tirer de trop hâtives conclusions (parfois plus lorsque les lésions sont chronicisées depuis de longues années !).

Quelques cas cliniques significatifs

Nous allons aborder dans ce chapitre si vous le voulez bien quelques situations fréquemment
rencontrées dans nos cabinets mais vues cette fois sous un angle nouveau. La mesure des champs d'énergie humaine (HEF : human energy field) va donner à notre démarche une dimension nouvelle et une vision holistique riche de détails.
Cas n° 1 : voyons tout d'abord le cas de Madame Andrée A. 73 ans qui veut me consulter en urgence pour des cervico-dorsalgies aiguës qui « ne peuvent attendre » comme elle me l'exprime au téléphone. Connaissant bien cette dame, je lui propose une consultation d'ici quelques jours afin d'avoir tout mon temps pour consulter comme j'aime ! Cette femme très exubérante et ayant un caractère affirmé me suggère d'une manière très appuyée de la prendre plus vite que cela.
Lui expliquant que ne je ne pourrais pas tout entreprendre quant aux bilans énergétiques préalables, je lui propose en fin de compte une consultation d'ostéopathie de « dépannage » n'ayant matériellement pas le temps de faire plus sur mon planning. Convaincu que cela suffira, elle saisit
l'occasion. Après un travail appliqué, prenant en compte la normalisation de tout le secteur rachidien, je constate malgré tout une prédominance des lésions au niveau D3-D4-D5. J'associe à des techniques de Sutherland une équilibration faciale prenant en compte tout l'axe thoracique (équilibration vertébro-corto-sternale), me rendant bien compte qu'il y avait sous mes mains
beaucoup de tensions ! Cette patiente se sent soulagé le jour qui suit notre entrevue mais « ça n'a pas tenu » comme elle me l'exprime avec véhémence ! Je lui explique donc la nécessité de se revoir mais cette fois en me laissant le temps d'agir par un bilan GDV-EPC préalable.

Cas N°1


Comme vous le voyez sur ces images : la première montre la patiente dans son état initial, la deuxième constitue le champ d'énergie après travail. Nous constatons quant à la qualité du champ d'énergie, une nette différence entre les 2 mesures au niveau de la zone dorso-lombaire. Il est à préciser que nous avons grâce à cette méthode la possibilité de faire des mesures avec et sans l'influence psycho-émotionnelle. Ceci est un mode de différenciation unique mis au point par les universitaires russes. Cela fait l'objet de nombreuse études à travers le monde actuellement tant dans le domaine sportif, clinique que psychiatrique

Le diagramme montre également une courbe bleue à l'intérieur de la rouge ce qui nous montre d'une manière simplifiée que son énergie physique est actuellement fortement perturbée par l'intermédiaire du psychisme. Nous observons même une nette inflexion de la courbe, côté droit, dans le secteur inférieur (spine) colonne. Il faut savoir pour bien interpréter ce diagramme que la zone centrale constitue une zone d'hypo fonction des systèmes ou organes et par-là même une zone d'effondrement de l'énergie. La zone de normalité étant constituée par la zone verte centrale. La zone externe constituant la zone d'hyperfonction. Nous nous rapprochons là du concept médical chinois de vide et de plénitude comme l'on peut s'en douter. Un vide d'énergie dans le secteur epiphyse, hypothalamus, thyroïde me laisse à penser que cette personne subit actuellement un stress important ce qu'elle me confirme immédiatement par la phrase « des soucis, je n'ai que ça ! »
En plus de cela, si l'on se réfère à l'approche ostéopathique somato-émotionnelle, nous observons que la zone dorsale fortement incriminée (D3-D4-D5) correspondant à des sentiments du type : phobies, amertumes +++, rage+++, sentiment d'avoir raté sa vie. Pour cela, se référer au livre passionnant de notre confrère belge, Roger Fiammetti : le Langage émotionnel du corps aux
éditions Dervy. Je finalise la séance par un travail cranio sacré approfondi et je parle beaucoup avec elle. Cette femme ultra pragmatique et cartésienne est complètement convaincue par la démonstration de l'imagerie qui lui fournit un élément précieux : dans l'avenir elle aura à prendre en compte d'une manière différente les tracas liés à sa famille et à ses proches au risque de replonger régulièrement dans ce genre de situation par le simple fait de la subtilité des connections neurovégétatives
avec son système ostéo-articulaire, chose qu'elle ignorait jusqu'alors. La courbe rouge du diagramme ci-dessus nous signifie le gain d'énergie par rapport à la bleue suite au travail ostéopathique. La simple prise de conscience de cette relation fait qu'actuellement Madame Andrée
A. ne se plaint plus à ma connaissance de son dos.

 Cas n°2

Cet exemple vous parle de Monsieur J. Pierre C. 65 ans, ancien compétiteur et pratiquant d'arts martiaux, me consulte pour un lumbago aigu lors d'un passage dans la région. Cet homme solide et athlétique ne montre en apparence aucun signe de faiblesse. Et pourtant à la vue des images GDV-EPC ci-dessous, on constate dans les 2 cas une zone très marquée sur la droite de l'image (vue de face) constituant ce que l'on nomme une image agressive. Au contraire, côté gauche, nous constatons à hauteur du foie un vide très net d'énergie par interruption du champ vital
à ce niveau. Ce diagramme nous montre côté gauche une hyperfonction au niveau sigmoïde et rectal. Le patient me confirme la fréquence d'épisodes hémorroïdaires. Comme nous le savons par la médecine chinoise, les hémorroïdes sont la « soupape » du foie. Le lien est fait ! Le foie ne pouvant plus réaliser un travail de détoxication suffisant, nous retrouvons dans le tractus digestif des substances irritantes concentrées dans la portion terminale du colon. En dehors de cela, quelques
questions axées sur ses habitudes alimentaires me confirment le fait que ce monsieur adopte sans le savoir une alimentation aggravante du tableau évoqué.
L'imagerie GDV-EPC après travail nous montre une normalisation du champ d'énergie. Seule persiste la zone « côlon » qui va demander plus de temps pour se normaliser compte tenu de l'importance du « signe agressif » sur l'imagerie. Ceci devrait s'obtenir assez rapidement par une diminution des facteurs de somatisation, une rééquilibration alimentaire (moins épicé !) et par l'amélioration de l'homéostasie tout simplement. Je trouve donc chez ce monsieur L3 (sigmoïde) et L5 (rectum) en lésion. En plus de cela, l'approche somato-émotionnelle pourrait à elle seule nous conforter dans les lésions ostéopathiques rencontrées : en effet L5 correspondrait dans son cas à trop de responsabilités, trop de poids sur les épaules. J'apprends que son épouse est décédée peu de temps avant et qu'il est en train de se
séparer de la maison qui les avait abrités durant tant d'années !
Nous connaissons tout le lien existant entre les états lombalgiques et les phases de transition dans la vie, que ce soit au niveau affectif, familial ou professionnel. Je normalise donc cette zone, travail que je fais suivre par une équilibration des chaînes fasciales tant ce patient m'est arrivé « soustension
» et cela se comprend aisément. Lui ayant dit de repasser en cas de problème avant de remonter dans sa région d'origine, pas de nouvelles, bonnes nouvelles…

Cas n°3

Ce dernier cas de figure nous retrace l'exemple de Monsieur Jean Luc F. 54 ans qui me consulte pour un lumbago aigu dans un contexte professionnel quelque peu difficile. Ce dernier avait fait le choix de reprendre un magasin de souvenirs mais ce dernier vivait « sous tension » du matin au soir de peur qu'on ne lui casse ses objets ou qu'on les lui vole tant des centaines de badauds défilaient
dans sa boutique exiguë ! Il somatisait certainement beaucoup au niveau du colon comme il en est une des tendances naturelles du corps et en plus de cela, certains mélanges inadéquats au niveau alimentaire venaient enfoncer le clou, aggravant le tableau. Je me souviens avoir trouvé chez ce patient toutes les vertèbres en regard du digestif en lésion (surtout de L1 à L5 + sacrum) mais également je dénoue quelques compensations dorsales en regard de la zone intestin grêle (D11) et foie vésicule (D4). Je pratique chez ce patient un important travail de détente à partir de techniques
de normalisation cranio-sacrée et surtout je prends le temps de débattre de sa problématique. Ce dernier sort de mon cabinet avec la ferme résolution de vendre au plus vite son affaire tant celle-ci lui vampirise toute son énergie ! le diagramme montre une très nette perturbation sur le plan
digestif des 2 côtés sur la courbe rouge (physiologique). Le champ d'énergie après travail ainsi que le diagramme montre une très nette amélioration de l'état de ce patient. Nous assistons à une sorte de « retour au calme » de l'image. La sphère psycho-émotionnelle en bénéficiera immédiatement aux dires de ce patient Aidé parallèlement par son médecin homéopathe, ce monsieur semble
actuellement se stabiliser mais dans tous les cas, cette séance lui aura au moins permis de se positionner clairement !

 

Des approches complémentaires pour renforcer le « terrain »

Une fois notre travail accompli, il est toujours intéressant de tenter de pérenniser les acquis par un travail de fond sur le terrain du patient. En effet quelles que soient les tendances et prédispositions de notre sujet (neurodystonique, basocolitique, etc…) une méthode simple et efficace existe pour cibler la stratégie micro-nutritionnelle la plus adéquate. Le bilan Iomet (Ionic Mineral Enzymo
Therapy) mis au point par le Dr Claude Lagarde, éminent biologiste, permet tant au thérapeute qu'au patient de « se situer » pour agir efficacement sur le terrain. Cette méthode d'analyse informatisée simple, non invasive et tirée d'un interrogatoire ultra-détaillé va constituer en plus de cela une approche éducative intéressante vis à vis de nos patients n'ayant pas ou peu notion de l'intérêt fondamental de s'occuper correctement de l'approche nutritionnelle. C'est donc volontairement que je ne développerai pas plus ce sujet, des informations étant disponibles à partir
de l'une de mes publications (consulter le site alti-sante.com) et cliquer en haut à droite sur « publication » bulletin de l'AFMO ou pour toute information concernant le Iomet, appeler le n° 05 65 64 71 51. Il est parfois intéressant en dehors de toute approche nutritionnelle de renforcer les acquis par une
« stabilisation » des résultats sur le plan ostéo-articulaire. Ceci particulièrement pour des patients chez lesquels les résultats ont du mal à « tenir ».
En effet, comme nous le savons tous, nous n'entrapercevons durant la consultation que « la partie émergée de l'iceberg » ! Toute la sphère somato-émotionnelle, sauf pour ceux ayant abordé cette approche est parfois complexe à démêler et beaucoup de « noeuds », émanant souvent de conflits anciens sont en place depuis longtemps et vont faire écran à tout le travail minutieux de l'ostéopathe. C'est la raison pour laquelle le Docteur Christian ROCHE a mis au point un produit assez novateur je dois dire tant par son mode d'utilisation (en spray) que pour son efficacité. Issu
des dernières recherches en médecine orthobiotique, ce produit nommé « ortho SPG5 ostéo » relance l'énergie fondamentale de l'appareil ostéopathique. Il agit comme un élixir centré sur la relation complexe entre nos désordres ostéo-articulaires et les « mémoires » évoquées précédemment. Pour toute information sur le produit ostéo concept, contacter directement le Docteur Christian ROCHE au 04 94 67 68 39. Bien évidemment, tout ceci n'est qu'adjuvant et ne va certes pas permettre de remplacer l'efficacité d'un traitement ostéopathique bien conduit. Toutefois, l'expérience nous a souvent montré qu'il
aurait suffi d'un tout petit plus pour que nos patients soient enfin tranquilles et soulagés. C'est uniquement dans cet état d'esprit qu'il est bon d'envisager de pareilles approches et nos patients nous le rendent bien par la résolution de leur problématique : quel meilleur salaire à nos yeux !!!

Conclusion

En tant que modeste chercheur sur les champs d'énergie humaine, ces années de travail sur l'imagerie m'ont appris beaucoup de choses. Mais au delà de tout concept et de toute « école », une chose est sûre : un traitement bien conduit va se lire sur l'image d'une manière aussi évidente que le patient ne pourra plus douter de sa réactivité au traitement et encore moins dans la stratégie thérapeutique mise en place. Ce type d'imagerie pourra nous permettre de démontrer la relation
somato-vertébrale, parfois difficile à expliquer à un patient « non averti ».

Les clichés numérisés instantanés sur l'ordinateur sont donnés au patient en fin de séance et ce dernier tient en main son « état des lieux » du moment, se sentant encore plus impliqué dans la prise en main de sa santé.
Même si les résultats se suffisent parfois à eux mêmes, il est souvent intéressant pour nous de pouvoir visualiser l'évolution d'une pathologie d'une manière fiable et reproductible scientifiquement.
Ce système existe enfin et en 2 minutes de temps, les prouesses de l'imagerie numérisée couplée à un logiciel ultra-performant met tout ce champ d'investigation à notre portée ou plutôt à la portée de
nos mains devrais-je dire ! Je remercie vivement la chambre nationale des ostéopathes et ses dirigeants de m'avoir permis d'aborder un sujet aussi avant-gardiste. Toutefois, une chose est à savoir : la reconnaissance de cette approche au niveau de la communauté scientifique internationale m'aura permis de publier un
long travail de recherche effectué au coeur de l'Himalaya. La porte est donc ouverte à toutes celles et tous ceux désireux de valider un quelconque travail de recherche lors de différents congrès ou symposiums internationaux organisés à cet effet.
L'approche de l'imagerie énergétique GDV-EPC vous passionne ? Faites vous connaître pour que nous puissions mettre en place une formation continue dans votre région.
Pour plus d'informations contactez-moi